Systems Theory
2021-Ongoing
2021-Ongoing











Technique:
Mixed media, scanned images from mechanical piano rolls.
Filed under:
music;
probability;
difference and repetition;
system;
The General Theory of Systems is the study of the interconnected and interdependent elements of an organism. Originating in Biology, this theory quickly expanded to other areas of knowledge.
According to the theory, each system is bounded by time and space, by the environmental context, by the way it’s organized and by its purpose. These starting elements generate behaviours and new elements, in an infinite loop of transformation.
This is a series of images that pay a visual tribute to this idea of operation, the mechanics of influence and determination that separates inputs from an output.
Most of these images are compositions from fragments captured from several mechanical piano paper rolls (pianola), one of the first data storage devices.
The images show how the elements are deconstructed, aggregated, subtracted and added, contracted and distended, declinated, repeated and differentiated. In a way, how they mirror the musical composition language that originated them.
La théorie générale des systèmes est l'étude des éléments interconnectés et interdépendants d'un organisme. Originaire de la biologie, cette théorie s'étend rapidement au-delà des domaines de la pensée.
Selon cette théorie, chaque système est conditionné par le temps et l'espace, par son contexte environnemental, par son organisation et par son objectif. Ces éléments de base génèrent des comportements et de nouveaux éléments, dans un cycle infini de transformation.
Cette série d'images rend un hommage visuel à cette idée de fonctionnement, à la mécanique d'influence et de détermination qui sépare les inputs des outputs.
La plupart de ces images sont des composites à partir de fragments capturés à partir de divers rouleaux d'un piano mécanique (pianola), l'un des premiers dispositifs de stockage de données.
Les images montrent comment les parties qui les composent sont déconstruites, agrégées, soustraites et ajoutées, contractées et étendues, déclinées, répétées et différenciées. D'une certaine manière, comment ils reproduisent le langage de composition musicale qui les a créés.
A Teoria Geral dos Sistemas é o estudo dos elementos interligados e interdependentes de um organismo. Com origem na Biologia, esta teoria rapidamente se expandiu para outras áreas do pensamento.
De acordo com esta teoria, cada sistema é condicionado pelo tempo e pelo espaço, pelo seu contexto ambiental, pelo modo como se organiza e pelo seu objectivo. Estes elementos de base geram comportamentos e novos elementos, num ciclo infinito de transformação.
Esta série de imagens faz uma homenagem visual a esta ideia de operação, à mecânica de influência e determinação que separa entradas de saídas.
A maioria destas imagens são composições a partir de fragmentos capturados de vários rolos de piano mecânico (pianola), um dos primeiros dispositivos de armazenamento de dados.
According to the theory, each system is bounded by time and space, by the environmental context, by the way it’s organized and by its purpose. These starting elements generate behaviours and new elements, in an infinite loop of transformation.
This is a series of images that pay a visual tribute to this idea of operation, the mechanics of influence and determination that separates inputs from an output.
Most of these images are compositions from fragments captured from several mechanical piano paper rolls (pianola), one of the first data storage devices.
The images show how the elements are deconstructed, aggregated, subtracted and added, contracted and distended, declinated, repeated and differentiated. In a way, how they mirror the musical composition language that originated them.
La théorie générale des systèmes est l'étude des éléments interconnectés et interdépendants d'un organisme. Originaire de la biologie, cette théorie s'étend rapidement au-delà des domaines de la pensée.
Selon cette théorie, chaque système est conditionné par le temps et l'espace, par son contexte environnemental, par son organisation et par son objectif. Ces éléments de base génèrent des comportements et de nouveaux éléments, dans un cycle infini de transformation.
Cette série d'images rend un hommage visuel à cette idée de fonctionnement, à la mécanique d'influence et de détermination qui sépare les inputs des outputs.
La plupart de ces images sont des composites à partir de fragments capturés à partir de divers rouleaux d'un piano mécanique (pianola), l'un des premiers dispositifs de stockage de données.
Les images montrent comment les parties qui les composent sont déconstruites, agrégées, soustraites et ajoutées, contractées et étendues, déclinées, répétées et différenciées. D'une certaine manière, comment ils reproduisent le langage de composition musicale qui les a créés.
A Teoria Geral dos Sistemas é o estudo dos elementos interligados e interdependentes de um organismo. Com origem na Biologia, esta teoria rapidamente se expandiu para outras áreas do pensamento.
De acordo com esta teoria, cada sistema é condicionado pelo tempo e pelo espaço, pelo seu contexto ambiental, pelo modo como se organiza e pelo seu objectivo. Estes elementos de base geram comportamentos e novos elementos, num ciclo infinito de transformação.
Esta série de imagens faz uma homenagem visual a esta ideia de operação, à mecânica de influência e determinação que separa entradas de saídas.
A maioria destas imagens são composições a partir de fragmentos capturados de vários rolos de piano mecânico (pianola), um dos primeiros dispositivos de armazenamento de dados.
The Divergent Image, Pt. 1 :
Landscapes and Constellations
2020-2021
Landscapes and Constellations
2020-2021

























Technique:
photography;
light painting
Filed under:
variation;
the mechanisms by which images of objects can generate new objects;dessiner avec l’espace vide;
machines of representation;
declinate forms;
Ballet Mécanique
photography;
light painting
Filed under:
variation;
the mechanisms by which images of objects can generate new objects;dessiner avec l’espace vide;
machines of representation;
declinate forms;
Ballet Mécanique
Let’s assume that multiple devices operate within the same image vocabulary. As in language, the images they generate are the consequence of a combination of “words” that are “made, remade and unmade” (Deleuze, Difference and Repetition).
They display sentences and variations, points of arrival that evolve to points of departure for new configurations. The repetition of some behaviors allows us to suspect a discourse is being produced.
This visual universe is built on physical phenomena. The here and now is always present and the dictatorship of the visible never fails to determine the result. These photographs however flirt with abstraction, they are ambivalent about the world and, as the thread that connects them to it gets thinner, the decisions made during the process becomes clearer.
What is this that we see? Is it the trail creased by dozens of planes in the Lisbon sky (before the lockdown) or is it a diagram? The space of the sky and the self-cancelled space of a black background in a photograph are the same as they are different. The lines that cross it are an accumulation of successive points.
The pace of these points on their journey could determine a different image and, hence, the image tells us about coordinates, presence and absence.
Between one photograph and the next there is a gap that remains hidden. It is a between-time of supposition and speculation, of an emptiness crammed with in- exhaustible not-here / not-now’s, accumulated in vertical stacks, expanding in all directions like the universe, suggesting hypothetical presences of images that did not happen.
Supposons que multiples dispositifs opèrent le même vocabulaire d’images. Comme dans une langue, les images qui en résultent génèrent des combinaisons de “mots” qui “sont faits, refaits et défaits” (Différence et Répétition, Gilles Deleuze). Ils nous proposent des phrases et des variations, des points d’arrivée qui évoluent vers des points de départ de nouvelles configurations. La répétition de certaines actions nous permet de déduire l’existence de règles et cela nous fait pressentir qu’un discours visuel est en train de se produire.
Cet univers plastique se construit sur le principe de phénomènes physiques. Le ici et maintenant sont toujours présents, l’omnipotence du visible ne manque jamais de déterminer le résultat, mais ces images s’éprennent d’abstraction, elles sont ambivalentes par rapport au monde. Au fur et à mesure que le fil qui les relie a lui s’étrécit, les décisions prises, pendant le processus de création de l’image, se révèlent plus perceptibles.
Que voyons-nous ? Les traces laissées par des dizaines d’avions dans le ciel de Lisbonne (avant le confinement) ou un diagramme ? L’espace du ciel et le fond noir d’une photographie dont l’espace s’annule sont une même chose et ne sont pas la même chose.
Les lignes qui le traversent sont une accumulation de points successifs. Le rythme de ces points pourrait déterminer pendant son voyage une image différente et, donc, l’image nous parle de coordonnées, de présence et d’absence. Entre une photographie et celles qui vont suivre il existe un entre-temps qui demeure enfoui. C’est un temps présumé, de spéculation, le vide surchargé d’inépuisables ici-non/ maintenant-non, accumulés en piles verticales, se propagent dans toutes les directions comme l’univers, suggérant des présences hypothétiques d’images qui n'ont pas eu lieu.
Suponhamos que múltiplos dispositivos operam um mesmo vocabulário de imagens. Como numa língua, as imagens que deles resultam geram combinações de “palavras” que se fazem, refazem e desfazem (Deleuze, Diferença e Repeticão). Colocam perante nós frases e variações, pontos de chegada que evoluem para pontos de partida de novas configurações. A repetição de alguns comportamentos permite-nos deduzir a existência de regras e, com isso, desconfiamos que um discurso visual está a ser produzido.
Este universo plástico constrói-se com base em fenómenos físicos. O aqui e agora está sempre presente, a ditadura do visível nunca deixa de determinar o resultado, mas estas imagens namoram a abstracção, são ambivalentes em relação ao mundo e, à medida que o fio que as liga a ele se atenua, mais evidentes se tornam as decisões tomadas durante o processo de construção da imagem.
O que é isto que vemos? É o rasto vincado por dezenas de aviões no céu de Lisboa (pré-confinamento) ou é um diagrama? O espaço do céu e o espaço auto-anulado de um fundo preto numa fotografia são a mesma coisa e são coisas diferentes. As linhas que o atravessam são uma acumulação de pontos sucessivos. O ritmo destes pontos na sua viagem poderia determinar uma imagem diferente e, com isto, a imagem fala-nos de coordenadas, de presença e de ausência. Entre uma fotografia e as restantes há um entre-tempo que permanece escondido. É um tempo suposto, de especulação, o vazio atafulhado de inesgotáveis não-aqui/não-agoras, acumulados em pilhas verticais, expandindo-se em todas as direcções como o universo, sugerindo presenças hipotéticas de imagens que não aconteceram.
They display sentences and variations, points of arrival that evolve to points of departure for new configurations. The repetition of some behaviors allows us to suspect a discourse is being produced.
This visual universe is built on physical phenomena. The here and now is always present and the dictatorship of the visible never fails to determine the result. These photographs however flirt with abstraction, they are ambivalent about the world and, as the thread that connects them to it gets thinner, the decisions made during the process becomes clearer.
What is this that we see? Is it the trail creased by dozens of planes in the Lisbon sky (before the lockdown) or is it a diagram? The space of the sky and the self-cancelled space of a black background in a photograph are the same as they are different. The lines that cross it are an accumulation of successive points.
The pace of these points on their journey could determine a different image and, hence, the image tells us about coordinates, presence and absence.
Between one photograph and the next there is a gap that remains hidden. It is a between-time of supposition and speculation, of an emptiness crammed with in- exhaustible not-here / not-now’s, accumulated in vertical stacks, expanding in all directions like the universe, suggesting hypothetical presences of images that did not happen.
Supposons que multiples dispositifs opèrent le même vocabulaire d’images. Comme dans une langue, les images qui en résultent génèrent des combinaisons de “mots” qui “sont faits, refaits et défaits” (Différence et Répétition, Gilles Deleuze). Ils nous proposent des phrases et des variations, des points d’arrivée qui évoluent vers des points de départ de nouvelles configurations. La répétition de certaines actions nous permet de déduire l’existence de règles et cela nous fait pressentir qu’un discours visuel est en train de se produire.
Cet univers plastique se construit sur le principe de phénomènes physiques. Le ici et maintenant sont toujours présents, l’omnipotence du visible ne manque jamais de déterminer le résultat, mais ces images s’éprennent d’abstraction, elles sont ambivalentes par rapport au monde. Au fur et à mesure que le fil qui les relie a lui s’étrécit, les décisions prises, pendant le processus de création de l’image, se révèlent plus perceptibles.
Que voyons-nous ? Les traces laissées par des dizaines d’avions dans le ciel de Lisbonne (avant le confinement) ou un diagramme ? L’espace du ciel et le fond noir d’une photographie dont l’espace s’annule sont une même chose et ne sont pas la même chose.
Les lignes qui le traversent sont une accumulation de points successifs. Le rythme de ces points pourrait déterminer pendant son voyage une image différente et, donc, l’image nous parle de coordonnées, de présence et d’absence. Entre une photographie et celles qui vont suivre il existe un entre-temps qui demeure enfoui. C’est un temps présumé, de spéculation, le vide surchargé d’inépuisables ici-non/ maintenant-non, accumulés en piles verticales, se propagent dans toutes les directions comme l’univers, suggérant des présences hypothétiques d’images qui n'ont pas eu lieu.
Suponhamos que múltiplos dispositivos operam um mesmo vocabulário de imagens. Como numa língua, as imagens que deles resultam geram combinações de “palavras” que se fazem, refazem e desfazem (Deleuze, Diferença e Repeticão). Colocam perante nós frases e variações, pontos de chegada que evoluem para pontos de partida de novas configurações. A repetição de alguns comportamentos permite-nos deduzir a existência de regras e, com isso, desconfiamos que um discurso visual está a ser produzido.
Este universo plástico constrói-se com base em fenómenos físicos. O aqui e agora está sempre presente, a ditadura do visível nunca deixa de determinar o resultado, mas estas imagens namoram a abstracção, são ambivalentes em relação ao mundo e, à medida que o fio que as liga a ele se atenua, mais evidentes se tornam as decisões tomadas durante o processo de construção da imagem.
O que é isto que vemos? É o rasto vincado por dezenas de aviões no céu de Lisboa (pré-confinamento) ou é um diagrama? O espaço do céu e o espaço auto-anulado de um fundo preto numa fotografia são a mesma coisa e são coisas diferentes. As linhas que o atravessam são uma acumulação de pontos sucessivos. O ritmo destes pontos na sua viagem poderia determinar uma imagem diferente e, com isto, a imagem fala-nos de coordenadas, de presença e de ausência. Entre uma fotografia e as restantes há um entre-tempo que permanece escondido. É um tempo suposto, de especulação, o vazio atafulhado de inesgotáveis não-aqui/não-agoras, acumulados em pilhas verticais, expandindo-se em todas as direcções como o universo, sugerindo presenças hipotéticas de imagens que não aconteceram.
The Question Concerning the Thing
2019
2019
Technique:
photography;
Mixed technique (photography + ecoline).
Filed under:
the mechanisms by which images of objects can generate new objects.
Qu’est-ce qu’une chose?
hypothesis-images
ensaios sobre a acumulação
Est-ce que le mouvement en repos reste encore du mouvement?
O movimento em repouso continua a ser movimento?
le jeu de l’image
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photography;
Mixed technique (photography + ecoline).
Filed under:
the mechanisms by which images of objects can generate new objects.
Qu’est-ce qu’une chose?
hypothesis-images
ensaios sobre a acumulação
Est-ce que le mouvement en repos reste encore du mouvement?
O movimento em repouso continua a ser movimento?
le jeu de l’image

Starting from the assumption that there is no such thing as an abstract photograph, because every single one has a direct connection to its referent on the physical world, these series of images propose to operate a game: at the same time they search for an identification and they escape from it. We know they are representing a thing, but the image is ambivalent about that thing. They have a disturbed relation with codes and to what they look like. These hypothesis-images, an accumulation of movement and duration, synthesized by the mechanical eye of the photographic camera, exist only as a theoretical possibility in the world of objects. As a visual essay, lending it’s name from Heidegger’s famous course “Die Frage nach dem Ding”, the images are more interested on the question - What is a thing? - than on its answers.
Partant de l’hypothèse qu’il n’y a pas une photographie dite abstraite, puisqu’elle est toujours liée à son référent dans le monde concrète, ce série de photographies suggère un jeu: au même temps qu’elles cherchent un lieu d’identification, elles veulent l’échapper. Nous savons qu’elles représentent une chose, mais l’image est ambivalente en relation à son contexte. Les deux traduisent une perturbation aux codes et à eux-mêmes.
Ces images-hypothèse, une accumulation du mouvement et de la durée, sont synthétisés par l’œil mécanique de l’appareil photo, existent seulement comme une possibilité théorétique dans le monde des objets.
Ce projet s’intéresse à l’exploration des mécanismes de représentation dans la photographie, en opérant des jeux de visibilité que seulement la “grammaire” de la photographie nous peut présenter.
En tant qu’essai visuel, il tire son nom du cours fameux “Die Frage nach dem Ding” de Martin Heidegger, les images sont plus intéressés à la question - Qu’est-ce qu’une chose? - qu’à ses réponses.
Tomando como ponto de partida que não existem fotografias abstractas, uma vez que cada uma delas partilha uma ligação directa com o seu referente no mundo físico, esta série de imagens sugere um jogo: ao mesmo tempo procuram uma identificação e fogem dela. Sabemos que estamos perante a representação de uma coisa, mas a imagem é ambivalente acerca dela. Estas imagens têm uma relação perturbada com os códigos e com a sua aparência. São imagens-hipótese, uma acumulação de movimento e duração, sintetizada pelo olho mecânico da câmara fotográfica, que existem apenas como uma possibilidade teórica no mundo dos objectos. Enquanto ensaio visual, que toma de empréstimo o seu título do famoso curso de Heidegger “Die Frage nach dem Ding”, estas imagens estão mais interessadas na pergunta - O que é uma coisa? - do que nas suas respostas.
Partant de l’hypothèse qu’il n’y a pas une photographie dite abstraite, puisqu’elle est toujours liée à son référent dans le monde concrète, ce série de photographies suggère un jeu: au même temps qu’elles cherchent un lieu d’identification, elles veulent l’échapper. Nous savons qu’elles représentent une chose, mais l’image est ambivalente en relation à son contexte. Les deux traduisent une perturbation aux codes et à eux-mêmes.
Ces images-hypothèse, une accumulation du mouvement et de la durée, sont synthétisés par l’œil mécanique de l’appareil photo, existent seulement comme une possibilité théorétique dans le monde des objets.
Ce projet s’intéresse à l’exploration des mécanismes de représentation dans la photographie, en opérant des jeux de visibilité que seulement la “grammaire” de la photographie nous peut présenter.
En tant qu’essai visuel, il tire son nom du cours fameux “Die Frage nach dem Ding” de Martin Heidegger, les images sont plus intéressés à la question - Qu’est-ce qu’une chose? - qu’à ses réponses.
Tomando como ponto de partida que não existem fotografias abstractas, uma vez que cada uma delas partilha uma ligação directa com o seu referente no mundo físico, esta série de imagens sugere um jogo: ao mesmo tempo procuram uma identificação e fogem dela. Sabemos que estamos perante a representação de uma coisa, mas a imagem é ambivalente acerca dela. Estas imagens têm uma relação perturbada com os códigos e com a sua aparência. São imagens-hipótese, uma acumulação de movimento e duração, sintetizada pelo olho mecânico da câmara fotográfica, que existem apenas como uma possibilidade teórica no mundo dos objectos. Enquanto ensaio visual, que toma de empréstimo o seu título do famoso curso de Heidegger “Die Frage nach dem Ding”, estas imagens estão mais interessadas na pergunta - O que é uma coisa? - do que nas suas respostas.
Studies on the Possibility of Movement
2017-Ongoing
2017-Ongoing
























Technique:
photography;
Mixed technique (photography + drawing).
Filed under:
the mechanisms by which images of objects can generate new objects;hypothesis-images;
le jeu de l’image;
light painting;
concrete-photography.
photography;
Mixed technique (photography + drawing).
Filed under:
the mechanisms by which images of objects can generate new objects;hypothesis-images;
le jeu de l’image;
light painting;
concrete-photography.
This project is all about what the eye cannot see, but the camera can synthesize. It deals with objects, their changeability and the way images of objects can generate other images (and therefore other objects). Self-referentiality, variation and declination. The apparent, the materiality, the consumer pulsion, the quickly fading lives of the objects we consume and discard. All of us mirrored on these short lived things that surround us.
Ce projet concerne ce que l'œil ne peut pas voir, mais que la caméra peut synthétiser. Il traite des objets, de leur évolutivité et de la façon dont les images d'objets peuvent générer d'autres images (et donc d'autres objets). Auto-référentialité, variation et déclinaison. L'apparente, la matérialité, la pulsion du consommateur, la vie qui s'estompe rapidement des objets que nous consommons et jetons. Nous avons tous réfléchi sur ces choses de courte durée qui nous entourent.
Este é um projecto sobre o que o olho vê, mas a câmara pode sintetizar. Lida com objectos, a sua mutabilidade e a forma como as imagens de objectos podem gerar outras imagens (e, portanto, outros objectos). Auto-referencialidade, variação e declinação. O aparente, a materialidade, o impulso consumista, a vida rapidamente desvanecendo-se dos objectos que consumimos e descartamos. Todos nós nos espelhamos nessas coisas fugazes que nos cercam.
Ce projet concerne ce que l'œil ne peut pas voir, mais que la caméra peut synthétiser. Il traite des objets, de leur évolutivité et de la façon dont les images d'objets peuvent générer d'autres images (et donc d'autres objets). Auto-référentialité, variation et déclinaison. L'apparente, la matérialité, la pulsion du consommateur, la vie qui s'estompe rapidement des objets que nous consommons et jetons. Nous avons tous réfléchi sur ces choses de courte durée qui nous entourent.
Este é um projecto sobre o que o olho vê, mas a câmara pode sintetizar. Lida com objectos, a sua mutabilidade e a forma como as imagens de objectos podem gerar outras imagens (e, portanto, outros objectos). Auto-referencialidade, variação e declinação. O aparente, a materialidade, o impulso consumista, a vida rapidamente desvanecendo-se dos objectos que consumimos e descartamos. Todos nós nos espelhamos nessas coisas fugazes que nos cercam.
Pierrot le Fou
2019-Ongoing
2019-Ongoing
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Technique:
Photography
/
Mixed technique (photography + liquid ecoline)
Filed under:
watercolor;
Godard;
scarlett;
concrete photography.
Photography
/
Mixed technique (photography + liquid ecoline)
Filed under:
watercolor;
Godard;
scarlett;
concrete photography.